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Pour respecter l’ordre de la bienséance, un père doit marier sa fille aînée avant la cadette, sauf que celle-là est une mégère. Catarina ne se laisse pas faire. Shakespeare donne le rôle titre à un personnage de femme profondément insoumise, résolument moderne, qui revendique le droit à la parole et à une certaine liberté. Ici, l’histoire se noue autour d’un cinéma ambulant sur la place d’un village, dans les années 50 en Italie.
Frédérique Lazarini propose une nouvelle vision de la pièce en la mettant en relation avec la comédie italienne du cinéma des années 1950-1960, qui elle aussi traite de la critique sociale avec une certaine insolence de ton. L’art cinématographique, très présent dans la pièce, porte la voix de personnages de femmes qui affirment leur besoin de liberté et d’indépendance tout comme Catarina dans la pièce de Shakespeare.
“La vraie mégère apprivoisée, c’est Frédérique Lazarini. Une énergie indomptable, une bande d’acteurs formidable dans une comédie endiablée. On rit, on s’émeut ; Shakespeare réinventé avec talent”. Télérama
De William Shakespeare
Adaptation et mise en scène : Frédérique Lazarini assisté de Lydia Nicaud
Scénographie et lumières : François Cabanat
Costumes : Dominique Bourde
Film : Bernard Malaterre
avec
http://www.artisticscenic.com/spectacle/la-megere-apprivoisee-artistichttps://youtu.be/RTjVXj7X4xU
Bord de scène à l’issue de la représentation